PrésentationTitre : Tambours dans la nuitAuteur : Victor Dixen Année de 1ère parution française : 2013 Appartient au cycle : Animale, prélude Lu au format : ePub, 76 pages Aux éditions : Gallimard Jeunesse |
Quatrième de couverture
1812. Paul, dix-huit ans, s’engage dans les troupes de Napoléon. Quelques jours plus tard débute la plus terrible guerre de l’Empereur : l'effroyable campagne de Russie. Pourquoi les soldats du Tsar refusent-ils d’engager le combat ? D’où viennent les sinistres roulements de tambours qui résonnent dans les ténèbres, nuit après nuit ? Qui sont les membres du régiment anonyme, unité de la Grande Armée oubliée des livres d’Histoire ?Ma chronique
Amatrice des écrits de Victor Dixen depuis la première heure, l’annonce de la parution d’Animale, son nouveau roman, sorti au mois d’août dernier, m’avait réellement enthousiasmée. A ce jour, je n’ai pas encore su trouver le temps de le lire, honte à moi, mais j’ai terminé le prélude ! Tambours dans la nuit, c’est l’histoire de Pierre Valandrin, tambour dans la grande armée de Napoléon de son état, que l’on va suivre en même temps que ladite armée dans son périple vers l’est.
Très honnêtement, je ne suis pas sûre que cette nouvelle fasse honneur au roman qu’elle précède. En tous cas, en ce qui me concerne, elle a plutôt complètement douché mon enthousiasme. A cause de Pierre lui-même, pour commencer, personnage pour lequel je n’ai pas ressenti la moindre empathie. Alors je me rends bien compte que le format « nouvelle » n’est guère propice à la mise en place de personnages très aboutis, mais j’ai besoin d’un minimum pour me sentir concernée, et là, ça n’a clairement pas été le cas.
A mon grand dam, l’histoire non plus ne m’a pas passionnée… L’époque napoléonienne est une période historique qui ne m’a jamais beaucoup intéressée, je dois bien l’avouer, et les quelques éléments fantastiques qu’on nous propose ici, liés au « régiment anonyme », ne surviennent que tardivement et par toutes petites touches. Victor Dixen n’est pas de ces auteurs qui ne construisent la trame de leur récit qu’autour de dialogues, il n’a pas peur des descriptions et ça ne m’avait jamais dérangée. Une fois n’est pas coutume, je les ai trouvées bien longuettes dans ce prélude...
Au final, me voilà bien embêtée car toute mon envie de me jeter sur Animale s’en est allée ! Perplexe, je m’interroge… Après m’être renseignée auprès d’amies bloggeuses qui ont lu ce premier tome, il semble qu’il soit très éloigné des aventures de l’ami Pierre, alors sans doute finirais-je néanmoins par me laisser tenter, mais je crains que ce ne soit pas pour tout de suite.
Très honnêtement, je ne suis pas sûre que cette nouvelle fasse honneur au roman qu’elle précède. En tous cas, en ce qui me concerne, elle a plutôt complètement douché mon enthousiasme. A cause de Pierre lui-même, pour commencer, personnage pour lequel je n’ai pas ressenti la moindre empathie. Alors je me rends bien compte que le format « nouvelle » n’est guère propice à la mise en place de personnages très aboutis, mais j’ai besoin d’un minimum pour me sentir concernée, et là, ça n’a clairement pas été le cas.
A mon grand dam, l’histoire non plus ne m’a pas passionnée… L’époque napoléonienne est une période historique qui ne m’a jamais beaucoup intéressée, je dois bien l’avouer, et les quelques éléments fantastiques qu’on nous propose ici, liés au « régiment anonyme », ne surviennent que tardivement et par toutes petites touches. Victor Dixen n’est pas de ces auteurs qui ne construisent la trame de leur récit qu’autour de dialogues, il n’a pas peur des descriptions et ça ne m’avait jamais dérangée. Une fois n’est pas coutume, je les ai trouvées bien longuettes dans ce prélude...
Au final, me voilà bien embêtée car toute mon envie de me jeter sur Animale s’en est allée ! Perplexe, je m’interroge… Après m’être renseignée auprès d’amies bloggeuses qui ont lu ce premier tome, il semble qu’il soit très éloigné des aventures de l’ami Pierre, alors sans doute finirais-je néanmoins par me laisser tenter, mais je crains que ce ne soit pas pour tout de suite.
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