Après avoir passé ma semaine de vacances en Italie en compagnie de Sandrone Dazieri et des deux héros de Tu tueras le père, je n’ai pas résisté à la tentation de les retrouver, à peine rentrée, dans Tu tueras l’ange. Construits sur le même modèle avec quelques flashbacks destinés à aiguiller le lecteur vers la solution, ces romans bénéficient d’intrigues assez poussées et si bien construites qu’il est passionnant de les dérouler. Encore une fois, je me suis régalée !
Après l’épisode de l’enfant du silo et sa rencontre avec Dante, Colomba a finalement réintégré la Mobile et son poste de commissaire adjoint. Lorsque le train Milan-Rome entre en gare avec, à son bord, les cadavres de tous les passagers de la classe affaires, elle est appelée sur les lieux. Un acte de terrorisme revendiqué par Daesh, mais notre tête brûlée ne tarde pas à détecter un certain nombre d’éléments étranges qui la persuadent du contraire et la convainquent de faire appel à Dante qu’elle n’a pourtant pas vu depuis plusieurs semaines. C’est le point de départ d’une enquête palpitante qui va les mener jusqu’en Allemagne.
Après avoir seulement lu deux ouvrages de Sandrone Dazieri, j’en arrive à la conclusion qu’on peut lui faire confiance pour aller déterrer les faits les plus sombres de notre Histoire et les intégrer avec habileté à ses intrigues, leur donnant à la fois du corps et du piquant. Cette fois, c’est à la mafia et aux services secrets russes que nous avons à faire. La manipulation est à nouveau au menu, agrémentée d’une histoire de vengeance à laquelle nos deux amis vont avoir bien du mal à comprendre quelque chose. D’autant plus que notre duo de choc connaît quelques désaccords qui risquent de fausser leur collaboration.
Dante est un petit peu moins présent dans ce second volume, et je l’ai regretté. C’est vraiment un personnage atypique que j’avais envie de voir évoluer, avec les difficultés que l’on connaît. De son côté, Colomba est en proie au doute, les choses lui échappent, elle se retrouve à devoir contrevenir de plus en plus souvent à la loi et cela lui pose - heureusement - de sacrés cas de conscience. Mais cahin-caha leur duo continue de fonctionner et porte sur ses épaules la réussite de ce nouvel opus. Un récit extrêmement dynamique, à l’atmosphère pesante, menaçante à souhaits, et le lecteur est tout bonnement captivé. Une très bonne lecture !
Après l’épisode de l’enfant du silo et sa rencontre avec Dante, Colomba a finalement réintégré la Mobile et son poste de commissaire adjoint. Lorsque le train Milan-Rome entre en gare avec, à son bord, les cadavres de tous les passagers de la classe affaires, elle est appelée sur les lieux. Un acte de terrorisme revendiqué par Daesh, mais notre tête brûlée ne tarde pas à détecter un certain nombre d’éléments étranges qui la persuadent du contraire et la convainquent de faire appel à Dante qu’elle n’a pourtant pas vu depuis plusieurs semaines. C’est le point de départ d’une enquête palpitante qui va les mener jusqu’en Allemagne.
Après avoir seulement lu deux ouvrages de Sandrone Dazieri, j’en arrive à la conclusion qu’on peut lui faire confiance pour aller déterrer les faits les plus sombres de notre Histoire et les intégrer avec habileté à ses intrigues, leur donnant à la fois du corps et du piquant. Cette fois, c’est à la mafia et aux services secrets russes que nous avons à faire. La manipulation est à nouveau au menu, agrémentée d’une histoire de vengeance à laquelle nos deux amis vont avoir bien du mal à comprendre quelque chose. D’autant plus que notre duo de choc connaît quelques désaccords qui risquent de fausser leur collaboration.
Dante est un petit peu moins présent dans ce second volume, et je l’ai regretté. C’est vraiment un personnage atypique que j’avais envie de voir évoluer, avec les difficultés que l’on connaît. De son côté, Colomba est en proie au doute, les choses lui échappent, elle se retrouve à devoir contrevenir de plus en plus souvent à la loi et cela lui pose - heureusement - de sacrés cas de conscience. Mais cahin-caha leur duo continue de fonctionner et porte sur ses épaules la réussite de ce nouvel opus. Un récit extrêmement dynamique, à l’atmosphère pesante, menaçante à souhaits, et le lecteur est tout bonnement captivé. Une très bonne lecture !
Note : ★★★★☆
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Tu tueras l'ange, de Sandrone Dazieri
Editions Robert Laffont (2017) - 608 pages - Support numérique - Thriller & Polar
La mort rôde, aussi belle que fatale. Serez-vous sa prochaine victime ? Lorsque le TGV Milan-Rome arrive à quai, la police fait une macabre découverte : tous les passagers de la classe affaires sont retrouvés morts. Si les premiers indices orientent l'enquête vers un attentat, la commissaire adjointe Colomba Caselli, muscles d'acier et âme fragile, est persuadée du contraire. Pour elle, seul Dante Torre, l'« Homme du silo », est capable d'y voir clair dans ce brouillard de mensonges et de fausses pistes. Très vite, ils découvrent que ce massacre n'est que l'énième épisode d'une longue série de carnages, sur laquelle plane l'ombre d'une mystérieuse figure féminine. Elle ne laisse aucune trace, juste un nom : Giltiné, l'ange lituanien des morts.
Site de l'auteur : https://sandronedazieri.com/
Editions Robert Laffont (2017) - 608 pages - Support numérique - Thriller & Polar
La mort rôde, aussi belle que fatale. Serez-vous sa prochaine victime ? Lorsque le TGV Milan-Rome arrive à quai, la police fait une macabre découverte : tous les passagers de la classe affaires sont retrouvés morts. Si les premiers indices orientent l'enquête vers un attentat, la commissaire adjointe Colomba Caselli, muscles d'acier et âme fragile, est persuadée du contraire. Pour elle, seul Dante Torre, l'« Homme du silo », est capable d'y voir clair dans ce brouillard de mensonges et de fausses pistes. Très vite, ils découvrent que ce massacre n'est que l'énième épisode d'une longue série de carnages, sur laquelle plane l'ombre d'une mystérieuse figure féminine. Elle ne laisse aucune trace, juste un nom : Giltiné, l'ange lituanien des morts.
Site de l'auteur : https://sandronedazieri.com/
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