Les foulards rouges #1.3, de Cécile Duquenne
Editions Bragelonne (2014)
Format ePub, 63 pages
Feuilletons littéraires
Editions Bragelonne (2014)
Format ePub, 63 pages
Feuilletons littéraires
Une sombre menace pèse sur l’Hacienda, le bastion du Capitan. De retour de sa mission en tandem avec Lara, Renaud arrivera-t-il à temps pour la contrecarrer ? Car il se pourrait bien que les Foulards Rouges se trouvent pour la première fois confrontés à une véritable bande ennemie organisée, bien décidée à remettre en cause la Fédération et l’autorité du Capitan... Mais quel secret cachent ces mystérieux Foulards Noirs ?
Ma chronique
C’est toujours avec un immense plaisir que je me replonge dans la saga Les Foulards Rouges, de Cécile Duquenne, et Paint it black, troisième épisode de la première saison, n’a pas dérogé à la règle. Dès les premières lignes, j’étais tombée littéralement sous le charme de ce « western fantastique à la sauce steampunk » et de son héroïne au sale caractère, Lara. La plume de Cécile Duquenne est légère, pleine d’humour et dynamique, et depuis le commencement, tous les éléments sont réunis pour passer un agréable moment de lecture sur Bagne.
On retrouve Lara et Renaud sur le chemin de l’hacienda, où ils se dépêchent de rentrer après avoir exécuté la dernière mission confiée par le Capitan, car l’alerte a été donnée : les Foulards Noirs s’apprêtent à passer à l’attaque. Le côté « western » du récit est à son apogée dans toute la première partie de cet épisode, la tension est presque palpable, ça tire dans tous les sens, et nos Foulards Rouges étant en infériorité numérique, on ne donne vraiment pas cher de leur peau. C’est l’occasion pour l’auteur de nous faire une révélation importante sur l’un de ses personnages, révélation qui explique certaines choses tout en soulevant de nouvelles questions, bien sûr !
La seconde partie est un peu plus calme, les pertes humaines sont considérables mais les conjurés sont toujours là, et il est devenu urgent de mettre en œuvre leur fameux plan d’évasion. On apprend au passage comment et auprès de qui le Capitan s’approvisionne en vivres et en matériel, l’univers gagne doucement en substance et en profondeur avec l’arrivée de la magie et la mention aux Evorians, tout comme les différents personnages d’ailleurs. Le style de l'auteur est très vivant, très visuel, ce qui renforce encore, en plus du découpage en épisodes, l’impression de regarder une bonne série télé. Et avec cliffhanger de surcroît, car la fin de ce troisième épisode nous laisse vraiment sur les dents !
Comme prévu, je me suis donc éclatée en lisant Paint it black ! Ce n’est pas de la grande littérature, le style est simple, accessible à tous, mais plaisant, il me parle, trouve un écho en moi. J’ai apprécié le dynamisme de cet épisode, la manière dont Cécile Duquenne nous dévoile peu à peu son univers, les révélations qui nous sont faîtes, même si elles entraînent fatalement de nouvelles interrogations. On sent bien que l’auteur maîtrise parfaitement son suspens et utilise brillamment son format de publication. Un nouvel épisode très réussi dans une série que j’affectionne tout particulièrement.
Note : ★★★★★On retrouve Lara et Renaud sur le chemin de l’hacienda, où ils se dépêchent de rentrer après avoir exécuté la dernière mission confiée par le Capitan, car l’alerte a été donnée : les Foulards Noirs s’apprêtent à passer à l’attaque. Le côté « western » du récit est à son apogée dans toute la première partie de cet épisode, la tension est presque palpable, ça tire dans tous les sens, et nos Foulards Rouges étant en infériorité numérique, on ne donne vraiment pas cher de leur peau. C’est l’occasion pour l’auteur de nous faire une révélation importante sur l’un de ses personnages, révélation qui explique certaines choses tout en soulevant de nouvelles questions, bien sûr !
La seconde partie est un peu plus calme, les pertes humaines sont considérables mais les conjurés sont toujours là, et il est devenu urgent de mettre en œuvre leur fameux plan d’évasion. On apprend au passage comment et auprès de qui le Capitan s’approvisionne en vivres et en matériel, l’univers gagne doucement en substance et en profondeur avec l’arrivée de la magie et la mention aux Evorians, tout comme les différents personnages d’ailleurs. Le style de l'auteur est très vivant, très visuel, ce qui renforce encore, en plus du découpage en épisodes, l’impression de regarder une bonne série télé. Et avec cliffhanger de surcroît, car la fin de ce troisième épisode nous laisse vraiment sur les dents !
Comme prévu, je me suis donc éclatée en lisant Paint it black ! Ce n’est pas de la grande littérature, le style est simple, accessible à tous, mais plaisant, il me parle, trouve un écho en moi. J’ai apprécié le dynamisme de cet épisode, la manière dont Cécile Duquenne nous dévoile peu à peu son univers, les révélations qui nous sont faîtes, même si elles entraînent fatalement de nouvelles interrogations. On sent bien que l’auteur maîtrise parfaitement son suspens et utilise brillamment son format de publication. Un nouvel épisode très réussi dans une série que j’affectionne tout particulièrement.
Lu en numérique ! |
2 commentaires
Depuis le temps qu'on m'en parle, il faudrait que je me lance un jour !
RépondreSupprimerMoi je suis fan ! J'aime l'univers, que je trouve très original, et les persos, en particulier Lara qui me fait beaucoup sourire. Tente le coup !
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