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Maxime Chattam ne cessera décidément jamais de me surprendre ! Après des années à explorer les méandres les plus sombres de l'âme humaine dans ses thrillers, l'auteur emprunte avec 8,2 secondes un chemin doux-amer auquel je ne m’attendais pas : celui du deuil et de la reconstruction. De l’amour aussi et, très franchement, le résultat est une belle réussite.

Le roman suit, en alternance, deux femmes que tout sépare, mais qu'un secret relie mystérieusement. May est policière à New York, tandis que Constance, scénariste, s'est isolée près du Lac Skaneateles, au nord des États-Unis. Traumatisée par la perte tragique de son époux et de son fils, elle cherche des réponses à son deuil dans le chalet familial. May, de son côté, traque un tueur en série surnommé le Grand Méchant Loup, GML pour les intimes, tout en essayant de trouver l'amour.

Ce qui m’a frappée d'emblée, c'est à quel point ces deux personnages sont touchants. Honnêtement, j’ai souvent du mal avec les héroïnes flics de Chattam, auxquelles je trouve toujours un côté “tête brûlée” qui a tendance à me taper sur les nerfs. Pour une fois, je les ai aimées sans réserve. Ces deux femmes sont profondément humaines, avec leurs blessures et leur besoin viscéral de continuer malgré tout. On vit leur douleur, leurs doutes et leurs failles de l’intérieur, sans jamais tomber dans le pathos facile.

Avec son alternance de points de vue, le roman possède deux temporalités et deux tonalités distinctes. Du côté de Constance, le récit est lent, introspectif, presque contemplatif. Du côté de May, par contre, c'est plus rythmé, plus dynamique. Cette construction en miroir fonctionne parfaitement et crée un bel équilibre. Bien que j’aie deviné le lien entre les deux héroïnes à mi-parcours, le développement de cette connexion est vraiment bien fait, l’auteur va plus loin que ce que j’avais imaginé.

Cependant, si vous cherchez un thriller haletant avec une enquête millimétrée et une révélation choc sur l'identité du meurtrier, vous risquez d'être surpris, car l'aspect polar et la traque du tueur sont clairement secondaires ici. Ce n'est pas le sujet du roman. Chattam utilise cette trame comme un écrin, mais son véritable sujet, c'est le deuil. Et pas n'importe quel deuil : celui qui vous broie, celui qui vous fait douter de votre envie de continuer à vivre. Autant vous dire que c’est assez lourd émotionnellement, et que si vous traversez une période difficile, mieux vaut peut-être reporter votre lecture.

Paradoxalement, malgré la noirceur du thème et l'absence de véritable thriller, 8,2 secondes se dévore. Le roman est terriblement addictif. On veut savoir, on veut comprendre, on veut accompagner ces deux femmes jusqu'au bout de leur chemin. La seule petite réserve que j'émettrais concerne la toute fin. Sans trop en dire, si tout le développement m'a semblé vraiment bien amené, les dernières pages m'ont un peu moins convaincues. Rien de rédhibitoire, mais un petit côté “too much” qui m’a chagrinée.

Une chose est sûre, c'est un Chattam plus sensible, plus intime, qui n'a pas peur de parler d'émotions, que l’on retrouve ici, et c'est cette prise de risque qui fait la force de ce roman. Il nous prouve qu'on peut écrire sur le deuil et l'amour sans tomber dans la mièvrerie. 8,2 secondes est un roman sur la capacité à se reconstruire après avoir tout perdu, sur ces infimes moments de bascule qui changent une vie. Un très grand Chattam, différent certes, mais excellent dans son exploration de l'humain.

Note : ★★★★★

Plus d'informations

8,2 secondes, de Maxime Chattam
Albin Michel (2025) - 391 pages - Support numérique - Thrillers & Polars

8,2 secondes. C'est le temps qu'il faut pour tomber amoureux. C'est le temps qu'il faut pour mourir. May et Constance ne se connaissent pas. Mais un même secret les relie. Et les menace. Un thriller psychologique envoûtant entre New York et les grands lacs de la frontière canadienne. Maxime Chattam nous entraîne dans un suspense Hitchcockien impossible à lâcher.

La page Facebook de l'auteur : https://www.facebook.com/ChattamMaxime/

Après le succès d'Elizabeth, sa première nouvelle publiée en 2024 dans la collection Chronopages des éditions 1115, Ann Carré revient avec La chute, un nouveau texte de science-fiction qui nous emmène cette fois en orbite autour d'une planète gazeuse. Si l'autrice avait su émouvoir et convaincre avec son récit initial, empreint de mélancolie et d'une idée narrative forte, ce second opus m’a moins convaincue, malgré des qualités indéniables.

La chute nous présente le professeur Troën Vinu, scientifique installé sur la station Cyrène qui gravite autour d'Hypatia, une géante gazeuse aux volutes belles et mystérieuses. Troën est convaincu d'avoir été contacté, vingt ans plus tôt, par les Mereka, un peuple extraterrestre vivant caché sous l'épaisse atmosphère de la planète. Ces derniers lui auraient transmis par télépathie une prophétie sur le point de s’accomplir. Nous suivons ce personnage dans le compte à rebours jusqu’à l’échéance, alors que sa réputation professionnelle et son honneur se sont progressivement effondrés.

L'idée de départ n'est pas dénuée d'intérêt : ce savant, obsédé par une révélation que lui seul prétend avoir reçue, évoque les grandes figures de scientifiques incompris de la science-fiction classique. Le cadre spatial, avec cette station orbitale scrutant une planète impénétrable, offre aussi une belle toile de fond pour explorer les thèmes de l'obsession et de la foi en l'extraordinaire.

Malheureusement, Ann Carré fait le choix d'un récit très elliptique, qui enjambe les mois et les années. Cette structure empêche le lecteur de véritablement s'investir dans le parcours de son personnage. On assiste à son histoire de loin, sans jamais vraiment pénétrer son intériorité ni comprendre les étapes qui l'ont mené à cette situation. Il est donc difficile de s’attacher à lui. Certes, sa situation inspire une certaine compassion – cet homme dévoué à une cause que personne ne reconnaît, cette solitude face à une vérité que lui seul perçoit – mais cette empathie reste superficielle et cette absence de connexion émotionnelle fait qu’on passe un peu à côté.

Autre faiblesse notable : le dénouement. Sans trop entrer dans les détails pour ne pas gâcher la lecture, il faut reconnaître que la résolution de l'intrigue manque de surprise. La chute annoncée par le titre arrive sans véritable effet de révélation. Pour un format court comme la nouvelle, où la force réside souvent dans le twist final, c’est fort dommage. On reste dans du classique, là où Elizabeth proposait une réflexion plus personnelle sur le temps et la mémoire.

L'écriture d'Ann Carré demeure cependant agréable. Le texte se lit sans accroc, avec une fluidité qui facilite la progression dans le récit. Mais elle ne parvient pas à retrouver la justesse de ton qui faisait le charme d'Elizabeth. Entre ellipses narratives trop marquées, un personnage principal qui peine à nous toucher et une conclusion attendue, cette nouvelle laisse le lecteur sur sa faim. On attendra donc avec curiosité la suite des aventures de cette autrice, en espérant qu'elle retrouve la force évocatrice de ses débuts.

Note : ★★★☆☆

Plus d'informations

La chute, de Ann Carré
Editions 1115 (2025) - 29 pages - Support papier - Recueils & Nouvelles

Destination : la station Cyrène, qui orbite autour de la planète Hypatia. Là, le Professeur Troën Vinu étudie sans relâche les immenses volutes qui tournoient à la surface de la géante gazeuse. Car sous cette épaisse atmosphère, il le sait, se cachent les Mereka, un peuple mystérieux qui le fascine depuis sa plus tendre enfance. Les mêmes Mereka qui lui ont transmis une prophétie, il y a bientôt vingt ans de cela. Une prophétie sur le point de se réaliser. Avec La Chute, Ann Carré nous prépare au pire tout en gardant un œil sur le passé, avec cette question obsédante à l'esprit : le pire est-il vraiment devant, ou derrière nous ?

Le site de l'autrice : https://anncarre.com/

C’est avec La part des flammes, publié en 2015, que Gaëlle Nohant s’est imposée dans le paysage de la fiction historique française. Quatre années de recherches lui ont été nécessaires pour reconstituer avec précision le Paris de la Belle Époque et l'une des pires catastrophes de son histoire : l'incendie du Bazar de la Charité, survenu le 4 mai 1897, qui fit 125 morts, principalement des femmes de l'aristocratie.

Le roman suit trois destins de femmes bouleversés par cette tragédie. D'abord, celui de la comtesse Violaine de Raezal, veuve à la réputation sulfureuse, qui tente désespérément de se faire accepter dans la haute société. Ensuite, celui de Constance d'Estingel, jeune femme tourmentée qui vient de rompre ses fiançailles et cherche une forme de rédemption dans la foi. Et enfin, celui de la duchesse Sophie d'Alençon, personnage historique réel – elle est la sœur cadette de Sissi, l'impératrice d’Autriche – qui consacre sa vie aux œuvres de charité et aux soins aux tuberculeux. Ces femmes, venues d'horizons différents, se retrouvent réunies au Bazar de la Charité lorsque les flammes se déchaînent.

L'intrigue s'articule en deux temps. Les cent premières pages nous plongent dans le Paris mondain de 1897 et nous font découvrir ces personnages et leurs aspirations. Puis vient l'incendie, décrit non sans réalisme : la panique, les bousculades, les corps qui brûlent, les cris, puis les brûlures et les cadavres calcinés… Le reste du roman suit les survivantes dans leur reconstruction, physique et psychologique, dans un monde qui ne leur fait guère de cadeaux.

Car c'est bien là le véritable sujet du livre : la condition féminine dans cette société de la fin du XIXe siècle. Gaëlle Nohant dépeint avec justesse un univers où les femmes appartiennent à leurs pères puis à leurs époux, où une simple rumeur peut détruire une réputation, et où l'internement psychiatrique menace celles qui osent se rebeller. Les mariages sont arrangés, les duels règlent encore les questions d'honneur, et une femme défigurée par le feu n'a plus sa place nulle part. À travers ses héroïnes, elle montre comment elles tentent de s'arracher à ces carcans, chacune à sa manière.

On sent bien la passion de l'autrice pour cette période charnière où l'ancien monde côtoie la modernité naissante. Malheureusement, le roman peine à transcender certaines limites. L'émotion ne parvient pas à se déployer véritablement. Constance, avec son mysticisme exacerbé et son désir de martyre, devient un peu agaçante dans ses tourments. Quant à Violaine, censée être le personnage moteur de l'intrigue, elle manque d'un véritable charisme qui aurait pu porter l'ensemble du récit. Je ne me suis pas vraiment attachée à elles et les personnages secondaires ne réussissent pas à compenser.

Le rythme connaît également quelques accrocs. Si l'incendie constitue un sommet d'intensité, certains passages consacrés aux blessés et à leurs soins s'étirent en longueur. Le roman aurait pu gagner à être resserré par endroits, même si la construction permet généralement d'éviter l'ennui en passant d'une héroïne à l'autre. Malgré tout, La part des flammes reste une belle réussite. Gaëlle Nohant signe ici un roman bien documenté, qui se lit avec plaisir et nous rappelle que certaines batailles, notamment celles pour l'émancipation des femmes, sont loin d'être terminées.

Note : ★★★★☆

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La part des flammes, de Gaëlle Nohant
Le Livre de Poche (2016) - 545 pages - Support papier - Littérature historique

Paris, 1897. Toutes les femmes de l'aristocratie se pressent au Bazar de la Charité, événement mondain des plus courus. Parmi elles, deux femmes peu habituées à cet univers, Violaine de Raezal, rejetée par ses pairs depuis la mort de son mari, et la jeune Constance d'Estingel, indifférente aux conventions sociales. Quand le bazar prend feu et que le piège des flammes se referme, la tragédie fait basculer leur destin.

Le compte Instagram de l'autrice : https://www.instagram.com/gnohant/?hl=fr

Après le triomphe de La femme de ménage, Freida McFadden propose une suite qui, malheureusement, peine à se hisser au niveau du premier tome. On y retrouve la même héroïne, Millie, quelques années après la fin du précédent volume. Elle a repris ses études pour devenir assistante sociale, enchaînant les petits boulots de femme de ménage pour payer son loyer et ses frais de scolarité. Lorsqu'elle décroche un poste chez les Garrick, un couple possédant un somptueux appartement avec vue sur Manhattan, elle pense avoir trouvé la perle rare. Sauf que… non !

Point de départ identique. Le principal défaut de ce deuxième tome, c'est sa structure narrative, qui reproduit presque trait pour trait celle du premier volume. Millie se retrouve à faire le ménage chez une riche famille en apparence parfaite, découvre des zones d'ombre, fouine malgré les avertissements et ça finit par lui péter au nez. Au milieu du récit, on change de narratrice, pour suivre les deux en parallèle sur le final. Cette mécanique, déjà vue dans La femme de ménage, manque cruellement d'originalité et pour les lecteurs qui enchaînent les deux tomes, la sensation de déjà-vu est inévitable et décevante.

La première moitié du livre souffre beaucoup de ce recyclage. On a l'impression de lire une variation peu inspirée du premier opus, avec des personnages et une situation différents, certes, mais une trame identique. L'autrice semble avoir voulu reproduire la formule gagnante du premier tome sans prendre le risque d’innover, et cette prudence nuit considérablement à l'effet de surprise et au suspense, pourtant essentiels dans un thriller de ce genre.

La seconde problématique réside dans le comportement de Millie elle-même. Elle qui a pourtant vécu des situations extrêmes, et possède un lourd passé, fait preuve d'une naïveté qui ne colle pas vraiment à son expérience de vie. On se demande comment une femme qui a passé dix ans en prison et s’est déjà laissée berner par un précédent employeur peut se montrer aussi crédule, au point d’abandonner ses empreintes sur une arme à feu alors qu’il y a un cadavre dans la pièce, par exemple. Ce sont autant de détails qui ôtent toute crédibilité au récit et deviennent franchement agaçants au fil de la lecture.

Malgré une écriture fluide et des chapitres courts qui maintiennent un certain rythme, des longueurs viennent alourdir le récit, avec des scènes répétitives où Millie nettoie un appartement impeccable, plie du linge déjà parfaitement rangé, et s'interroge sans cesse sur les mêmes éléments suspects. Autant de redites qui finissent par émousser l'intérêt du lecteur. Même si les personnages secondaires apportent une certaine épaisseur, ils ne suffisent pas à compenser les faiblesses structurelles du roman. Ainsi, en choisissant de reproduire la recette du premier tome plutôt que d'explorer de nouvelles directions, Freida McFadden livre un thriller correct mais prévisible, qui déçoit par son manque d'audace.

Note : ★★★☆☆

Plus d'informations

La Femme de Ménage, tome 2 : Les secrets de la femme de ménage, de Freida McFadden
J'ai Lu (2024) - 407 pages - Support papier - Thrillers & Polars

C’est une chance inespérée pour Millie d’avoir décroché un nouveau travail. Chez les Garrick, un couple fortuné qui possède un somptueux appartement avec vue sur New York, elle fait le ménage et prépare les repas dans la magnifique cuisine. Cela paraît trop beau pour être vrai. Et effectivement, la femme de ménage ne tarde pas à déceler quelques ombres au tableau… Son patron, Douglas Garrick, est d’humeur de plus en plus changeante. Et pourquoi sa femme Wendy reste-t-elle toujours enfermée dans la chambre d’amis ? Le jour où Millie découvre du sang sur une chemise de nuit, elle ne peut plus rester les bras croisés. Quelque chose se trame dans cette maison. Une situation à laquelle Millie n’est pas préparée et qui pourrait bien se retourner contre elle si elle continue de vouloir découvrir les secrets des autres…

Le site de l'autrice : https://www.freidamcfadden.com/

On se retrouve aujourd'hui avec la suite du challenge Civilisations organisé sur l'Imag'In Café. Après avoir exploré l'âge de pierre et l'âge de bronze, je découvre maintenant l'ère minoenne ! Le Clan de la Musaraigne a bien grandi. Il a découvert de nouvelles technologies pour améliorer son agriculture et son élevage, les prémices de l'artisanat, de nouvelles techniques de chasse, et de guerre aussi, hélas. Le voilà à l'ère minoenne, prêt à poursuivre son évolution...

Le principe du challenge est simple : chaque lecture satisfait à une consigne et grâce à elle, on obtient des points d'amélioration : de nos bâtiments, de nos technologies, de nos territoires. Notre civilisation se développe ainsi peu à peu, de l'âge de pierre à nos jours. Chacun participe à son rythme. Ce qui compte, c'est de s'amuser et prendre plaisir à lire, c'est tout.

Les règles du challenge

- Bien qu'à chaque nouvel âge, on nous demande de choisir entre deux peuples, et donc deux séries de consignes, il s'agit bien d'un challenge individuel, pas en équipe. 
- Chacun commence le challenge à l'âge de pierre, quand il veut, pas de date de début imposée.
- Seuls les romans de plus de 150 pages sont autorisés. Pas de nouvelles, bandes dessinées, comics ni autres romans graphiques.
- Pour chaque livre lu, la consigne est validée par un avis dans une fiche de la bibliothèque imaginaire ou dans un carnet de lecture, sur le forum.

Premier âge - L'âge de pierre

Billet récapitulatif de ma participation à l'âge de pierre : ici.

Deuxième âge - L'âge de bronze

Billet récapitulatif de ma participation à l'âge de bronze : ici.

Troisième âge - L'ère minoenne

À l'ère minoenne, le Clan de la Musaraigne a rejoint le peuple du Désert de Poussière. Ce peuple vit dans un vaste désert aride et hostile. Son mode de vie est façonné par les caprices du sable et du vent, qui donnent naissance à des dunes mouvantes et à des tempêtes de poussière spectaculaires. C'est un peuple fort, résilient et plein de sagesse, dont la vie est étroitement liée à la beauté et aux défis du désert.

Du point de vue du challenge, les chefs de ce peuple devront lire des romans de n'importe quel genre, mais tous publiés une année différente pour faire évoluer leur clan.

BRANCHE 1 - CITE

  • Améliorer la maison du chef de clan (niveau 4) - Lire un livre où l'un des personnages possède un titre de noblesse : La part des flammes, de Gaëlle Nohant (2016)
  • Transformer les huttes d'habitation en maison d'habitation (niveau 7) - Lire un livre avec une cité en ruines :

BRANCHE 2 - ARTISANAT

  • Aménager des ateliers d'artisans du fer (artisan des métaux niveau 2) :
  • Découvrir le travail du marbre (sculpteur niveau 2) :
  • Améliorer les ateliers de tailleurs (tailleur niveau 2) :

BRANCHE 3 - CHASSE & GUERRE

  • Ouvrir des arènes de combat (infanterie niveau 3) :
  • Découvrir les combats à l'arc composite (combat à distance niveau 3) :
  • Améliorer les casernes de cavalerie (cavalerie niveau 2) :

BRANCHE 4 - AGRICULTURE & ELEVAGE

  • Produire de l'avoine (fermes rurales niveau 7) :
  • Découvrir les techniques pastorales (fermes d'élevage niveau 7) :

BRANCHE 5 - CITE

  • Améliorer les maisons d'habitation (niveau 8 ) :
  • Découvrir la vannerie (art & religion niveau 7) :

BRANCHE 6 - COMMERCE

  • Découvrir le commerce maritime (commerce niveau 1) :
  • Découvrir une culture alliée : la cité égyptienne (commerce niveau 2) :

BRANCHE 7 - AGRICULTURE & ELEVAGE

  • Découvrir la meule (fermes rurales, niveau 8 ) :
  • Améliorer les élevages d'animaux (fermes d'élevage niveau 8 ) :

BRANCHE 8 - CITE

  • Améliorer les maisons d'habitation (niveau 9) :
  • Découvrir de nouveaux territoires (niveau 3) :

Cité d'alliance : L'Egypte

Le Clan de la Musaraigne va réaliser, au cours de l'ère minoenne, l'importance de se faire des alliés culturels, commerciaux ou encore militaires. Elle va découvrir une nouvelle civilisation : l'Egypte.

Pour accéder à l'âge suivant, les clans du peuple du Désert de Poussière devront escalader collectivement l'arbre de progression de la cité égyptienne, accessible dès lors qu'ils auront validé la branche 6. Aucun clan ne pourra basculer dans l'âge suivant tant que ce dernier n'aura pas été complété.

BRANCHE 1 - CITE

  • Aménager des huttes de boue (maison d'habitation niveau 1) :
  • Découvrir les rites funéraires (art & religion niveau 1) :

BRANCHE 2 - ARTISANAT

  • Aménager des mines d'or (mineur niveau 1) :
  • Aménager des ateliers d'orfèvrerie (artisan des métaux niveau 1) :
  • Aménager des presses à papyrus (artisan du papier niveau 1) :

BRANCHE 3 - CITE

  • Aménager des puits (irrigation niveau 1) :
  • Transformer les huttes de boue en huttes de brique (maison d'habitation niveau 2) :

BRANCHE 4 - ARTISANAT

  • Améliorer les mines d'or (mineur niveau 2) :
  • Améliorer les mines d'or (mineur niveau 3) :

BRANCHE 5 - CITE

  • Découvrir les oasis (irrigation niveau 2) :
  • Découvrir les merveilles du monde (niveau 1) :

Alors, curieux ? Tu as envie de participer ?

C'est sur le forum que ça se passe : https://imagin-cafe.forumactif.com/

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