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On se retrouve aujourd'hui avec Katie, de Michael McDowell, publié aux éditions Monsieur Toussaint Louverture en 2024. Après le triomphe de Blackwater et le succès des Aiguilles d'or, l'éditeur français poursuit l'exhumation de l'œuvre de cet auteur américain disparu en 1999. Katie nous plonge dans le New York de 1871, à la rencontre de Philomela Drax, jeune femme désargentée qui se précipite au secours de son grand-père menacé par une famille sans scrupule : les Slape et leur fille Katie. Un roman qui se lit très vite, mais accumule les facilités scénaristiques au point de perdre toute crédibilité.

L'intrigue est simple : Mary, la mère de Philo, reçoit un jour une lettre d’un père qu’elle n’a pas vu depuis vingt ans. Le vieil homme, infirme, aux mains de la famille Slape, craint pour sa vie, et promet un bel héritage à sa fille en échange de son assistance. Philo vole immédiatement à son secours, mais se retrouve confrontée à Katie Slape, voyante et tueuse à ses heures perdues. Des rues poussiéreuses du New Jersey aux trottoirs de Saratoga, en passant par les quais de New York, l’auteur nous propose un chassé-croisé qui aurait pu être haletant, oppressant, mais… n’est rien de tout ça !

Le principal reproche que je ferais concerne les facilités scénaristiques qui jalonnent le récit. À chaque fois que Philo se retrouve dans une situation périlleuse, un deus ex machina vient la tirer d’affaires comme par enchantement : une opportunité inespérée, un personnage surgi de nulle part ou autre. Une mécanique qui se répète encore et encore, tout le long du récit, au point de devenir prévisible et franchement agaçante. On sait qu’une solution va tomber du ciel sans que l’héroïne ne fasse rien pour la provoquer. Résultat : aucune tension, aucun véritable enjeu. Tout est trop facile !

Cela va de pair avec l'absence d'évolution des personnages. Philo ne progresse pas d'un iota. Sa naïveté initiale, qui aurait pu être touchante, vire rapidement à la bêtise pure et simple, et j’ai fini par avoir juste envie de lui taper dessus ! Malgré les dangers évidents, elle persiste à se mettre en péril sans jamais tirer la moindre leçon de ses mésaventures. On attend en vain qu'elle se décide enfin à reprendre sa vie en main, mais non, elle subit, attendant passivement que quelqu'un vienne la sauver.

Quant aux Slape, ils sont décrits comme une famille cupide et violente, prête à tuer pour obtenir de l'argent. Katie, avec son don de voyance et son marteau, aurait dû incarner une menace terrifiante ; le père est un homme simple d'esprit mais dangereux, la mère une femme manipulatrice et calculatrice. Mais leur absence totale de jugeote à tous en fait des caricatures du début à la fin. On n'a jamais peur, jamais cette boule au ventre qui caractérise un bon récit d'horreur. Pour ce que certains ont qualifié d’hommage aux penny dreadfuls, ces histoires horrifiques et macabres qui faisaient fureur en Angleterre au XIXe siècle, le résultat manque cruellement de pep's. Une lecture terriblement frustrante et puis c'est tout.

Note : ★★☆☆☆

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Katie, de Michael McDowell
Monsieur Toussaint Louverture (2024) - 456 pages - Support numérique - Fantastique & Horreur

Lorsque Philomela Drax reçoit une lettre de son riche et impotent grand-père, qui craint pour sa vie, désormais aux mains de la famille Slape, elle se précipite à son secours. Mais Katie Slape, douée de voyance, part à sa poursuite, des rues poussiéreuses d'un village du New Jersey aux trottoirs étincelants de Saratoga en passant par les quais brumeux de New York.

Premier tome de La trilogie de la bibliothèque, de Mark Lawrence, Le livre qui refusait de brûler est un récit qui se veut ambitieux, mais qui peine à tenir ses promesses. L'auteur, connu pour ses précédentes sagas de fantasy, tente ici d'explorer un univers centré sur une bibliothèque aux dimensions incommensurables, mais le résultat ne m’a pas convaincue.

Le roman nous propose de suivre deux personnages : Evar, un jeune homme prisonnier depuis toujours d'une salle remplie de livres, et Livira, une fillette arrachée à son village et envoyée étudier dans la fameuse grande bibliothèque. Leurs chemins vont se croiser mystérieusement à travers le temps et l'espace, créant une dynamique intrigante mais qui souffre de longueurs. Car il faut s'armer de patience et attendre les trois quarts du livre pour que l'intrigue décolle enfin. L’auteur décrit la bibliothèque, son fonctionnement et ses habitants avec minutie, mais l’action n’avance pas véritablement.

L'histoire d'Evar et de ses frères et sœur, en particulier, a peiné à me captiver. J’ai eu du mal à comprendre quelles étaient leurs motivations, et plus généralement à m’attacher à eux. Livira est plus développée, même si elle souffre également d'une écriture qui ne permet pas de créer un lien émotionnel fort avec le lecteur. À l’exception peut-être de sa relation avec son mentor, dont les rares apparitions apportent une touche de complexité bienvenue.

Le dernier quart du roman réserve, certes, un retournement de situation qui transforme notre compréhension de tout ce qui précède. Cependant, ce twist, bien qu'intéressant, ne suffit pas à racheter les pages précédentes, bien laborieuses. De plus, cette partie finale s’est révélée, en tout cas pour moi, un peu confuse et j’en ressors avec l'impression désagréable de ne pas avoir tout compris. Il y avait de très bonnes idées, mais la réalisation ne suit pas, noyée dans une intrigue qui tourne longtemps en rond avant de se conclure soudain beaucoup trop vite.

Malgré un univers intrigant et de bonnes idées, le roman souffre de défauts rédhibitoires : un rythme excessivement lent pendant les trois quarts du récit, des personnages peu développés et attachants, en particulier Evar, et une fin certes plus animée mais trop rapide et confuse pour être pleinement satisfaisante. Une déception qui ne me permet pas, à l’heure actuelle, de dire si je lirai la suite. Dans le meilleur des cas, ce ne sera pas tout de suite !

Note : ★★★☆☆

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La Trilogie de la Bibliothèque, tome 1 : Le livre qui refusait de brûler, de Mark Lawrence
Bragelonne (2024) - 624 pages - Support numérique - Fantasy

Evar a passé toute sa vie prisonnier d’une salle remplie de livres, plus ancienne que les empires, plus vaste qu’une cité. Livira vivait aux confins de la civilisation, où rôdent les cauchemars et où nul ne se rend. Lorsqu’elle est arrachée à son village, elle se consacre à l’étude des mystères qui irriguent la grande bibliothèque, cœur battant du royaume. Ils n’étaient pas censés se rencontrer. Dans la bibliothèque, leurs chemins se sont pourtant croisés. Leurs histoires s’entrelacent alors, cœur à cœur, à travers les univers et le temps. Faites de vérité et de mensonges, elles se brouillent et se confondent. Dans ce périple où la connaissance érode les certitudes, la plume a beau être plus puissante que l’épée, elle n’empêchera pas le sang de couler ni les cités de brûler.

Le site de l'auteur : https://www.marklawrence.buzz/

On se retrouve aujourd’hui avec L'étrange et fascinante pension de Sophie Bailly, de Rose P. Katell, un récit qui mêle fantastique et romance dans une atmosphère automnale très réussie. Pourtant, vous le savez, la romance n'est pas mon terrain de prédilection, mais l'univers créé par l'autrice m'a intriguée et donné envie.

Le principal atout de cette histoire réside indéniablement dans son atmosphère. Rose P. Katell excelle à créer une ambiance feutrée et mystérieuse. Dès les premières pages, on ressent une forme de mélancolie automnale, qui donne une couleur particulière au récit et qui m’a séduite en ce début de saison. Cette dimension immersive constitue le véritable point fort de ce texte et compense en partie mes réticences habituelles face au genre romantique.

Malheureusement, c'est là qu’apparaissent quelques réserves. Le texte souffre, selon moi, d'un problème de format et de longueur. Alors oui, je savais pertinemment dans quoi je me lançais, c’est-à-dire une très courte nouvelle, mais les personnages, autant que les péripéties, auraient mérité d'être davantage développés. Cette impression que tout va trop vite nuit à l'ensemble et m'a empêchée de m'attacher pleinement aux protagonistes.

Il faut bien l'avouer, la romance centrale n'a pas réussi à m'emporter. Cette réserve est sans doute liée à mes goûts personnels, mais aussi, je pense, au manque de profondeur évoqué plus haut. Les relations entre les personnages auraient gagné à être approfondies pour paraître pleinement crédibles. J'ai eu du mal à adhérer à cette histoire d'amour, parce qu'elle manquait de cette progression naturelle qui fait que l'on croit aux sentiments des protagonistes.

L'histoire de fantômes qui constitue la trame fantastique du récit s'avère assez prévisible dans son déroulement. On devine vite les tenants et aboutissants, et les révélations ne surprennent guère le lecteur. Cependant, l’intrigue reste charmante dans le message qu'elle fait passer, et l'on ne peut que saluer l'intention de l'autrice, dont la plume reste agréable à lire. Elle maîtrise son art, même si l’on pourra regretter que le format choisi ne permette pas à ses qualités de s'exprimer pleinement.

Un récit qui, par certains côtés, a su me charmer, mais par d’autres, m’a laissée sur ma faim. Pour les amateurs du genre qui ne sont pas rebutés par un développement condensé, ce texte offre un moment de lecture agréable grâce à son ambiance réussie.

Note : ★★★☆☆

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L'étrange et fascinante pension de Sophie Bailly, de Rose P. Katell
Autoédition (2025) - 20 pages - Support numérique - Nouvelles & Recueils

Après la perte de son emploi, Samuel n'a plus le choix : il doit déménager dans un logement moins coûteux que son appartement actuel. Son choix se porte sur une pension à l'abri de l'agitation des villes, où il espère repartir à zéro. Mais si le lieu se révèle plus qu'agréable et s'il ne tarde pas à être lui-même sous le charme de sa propriétaire, une question le turlupine... Pourquoi ne croise-t-il jamais les autres locataires, dont il a pourtant été informé de la présence ?

Le site de l'autrice : https://rosepkatell.com/

Après le remarqué Alabama 1963 qui leur a valu une quinzaine de prix littéraires, Ludovic Manchette et Christian Niemiec nous emmènent cette fois dans la campagne anglaise des années 1930 avec À l'ombre de Winnicott. Un manoir au cœur du Sussex, une préceptrice française et son jeune élève aveugle, des phénomènes étranges : tous les ingrédients du récit gothique semblent réunis. Pourtant, ce troisième roman du duo surprend par sa retenue et sa sensibilité.

L'histoire nous transporte à Winnicott Hall en 1934, avec Archie, Lucille et leur petit garçon George. Viviane, la nouvelle gouvernante française, découvre cette demeure familiale où règne une atmosphère feutrée, typiquement britannique. Les auteurs excellent à recréer l’ambiance aristocratique de l'entre-deux-guerres, avec ses codes sociaux, ses non-dits et cette politesse de façade qui cache tant de secrets. Comme la série Downton Abbey, le roman est empreint de cette nostalgie d'un monde en mutation.

George, cet enfant aveugle aux prises avec les fantômes, constitue indéniablement le cœur battant du récit. Un enfant gentil et intelligent, atteint de cécité, qui accueille sa nouvelle préceptrice avec une maturité touchante. Les auteurs le rendent attachant sans verser dans le pathos, évitant l’écueil du personnage handicapé utilisé comme ressort dramatique. Avec sa condition d’étrangère et son regard extérieur, Viviane offre un contrepoint intéressant dans ce microcosme anglais. Les parents, Archie et Lucille, bien que moins développés, ne tombent pas dans la caricature de l'aristocratie décadente et conservent une humanité convaincante.

L'ensemble des personnages secondaires contribue à créer cette atmosphère de huis clos familial où chacun porte ses secrets. Si leurs psychologies ne sont pas toujours approfondies, ils servent efficacement l'ambiance générale du récit. Les touches fantastiques demeurent très légères. Winnicott Hall serait-il hanté ? Plutôt que de multiplier les effets surnaturels, les auteurs privilégient l'ambiguïté et la suggestion. Cette retenue peut décevoir les amateurs de fantastique pur, mais elle sert remarquablement bien l'atmosphère gothique du récit.

L'intrigue reste relativement simple. Pas de révélations fracassantes ni de rebondissements multiples. Pourtant, cette simplicité apparente ne nuit pas à l'intérêt du récit. C'est davantage dans l'atmosphère, les relations entre personnages et la qualité d'écriture que réside la force du roman. Et au-delà de son habillage gothique, À l'ombre de Winnicott porte un message profondément humain. Un roman qui mise sur la subtilité plutôt que sur l'efficacité, et qui gagne à être lu avec la patience qu'il mérite.

Note : ★★★★☆

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À l'ombre de Winnicott, de Ludovic Manchette et Christian Niemiec
Le Cherche Midi (2024) - 504 pages - Support numérique - Fantastique & Horreur

Sussex, Angleterre, 1934. Alors qu'ils viennent d'emménager dans le manoir de Winnicott Hall, Archibald et Lucille Montgomery confient à Viviane Lombard, une Française à l'attitude et au franc-parler peu ordinaires, l'éducation de George, leur jeune fils aveugle. Tandis que la préceptrice et l'enfant apprennent à s'apprivoiser, un doute s'instille peu à peu chez eux comme chez tous les habitants de la vaste demeure, maîtres des lieux et personnel confondus : une présence invisible ne rôderait-elle pas entre les murs de la vieille bâtisse ?

Le site des auteurs : https://www.manchette-niemiec.fr/

Il faut parfois savoir accepter qu'un livre ne soit tout simplement pas fait pour nous. C'est exactement ce qui m'est arrivé avec Les fileurs de temps, la novella de Thomas Fouchault parue aux Éditions 1115 en 2019. Malgré une proposition originale, cette relecture du mythe des Argonautes n'a jamais réussi à m'embarquer.

L’auteur nous propose une revisite de la célèbre légende de la Toison d'Or, transformée ici en fantasy mythologique où Jason et ses compagnons naviguent vers un monde mystérieux. L'idée était intéressante : revisiter un mythe à travers le prisme de la fantasy contemporaine, mais j’ai achevé cette novella avec le sentiment d’être passée à côté de l’essentiel.

Le principal écueil réside selon moi dans les personnages, à commencer par Jason lui-même. Là où le héros mythologique possédait une stature épique et une psychologie complexe, celui de Fouchault m'a semblé bien terne. Je tournais les pages sans parvenir à ressentir la moindre empathie pour ses tourments. Le même problème se pose pour ses compagnons d'aventure auxquels l’auteur fait adopter une posture bourrine, sans nuance ni profondeur. Ils ne sont là qu’en tant que faire-valoirs, et c’est un peu frustrant.

L'intrigue elle-même souffre de ce manque de chair. La fameuse Toison d'Or fait l'objet d'une adaptation inattendue, mais cette originalité ne compense malheureusement pas l'absence de tension dramatique. Et c’est ainsi que je me suis retrouvée dans la position de la spectatrice détachée, qui observe des événements qui ne la concernent pas. Cela dit, ça n’enlève rien à la qualité de l’écriture de l’auteur, ses descriptions sont évocatrices, parfois même élégantes. Les calligrammes qui marquent les chapitres témoignent d’un effort de recherche. Mais tout cela ne suffit pas à donner vie au récit.

Le format novella pose également question. S'il peut être redoutablement efficace, il demande une maîtrise particulière pour créer de l'attachement en peu de pages. Force est de constater que Thomas Fouchault n'y parvient pas totalement dans ce premier texte.

Au final, Les fileurs de temps ne m’a transmis aucune émotion véritable. J’ai lu et refermé ce livre avec indifférence. Les personnages ne m'ont pas touchée, l'histoire ne m'a pas emportée, et malgré quelques bonnes idées, l'ensemble ne m'a pas convaincue. Ce sont des choses qui arrivent, ce n'était tout simplement pas un texte pour moi.

Note : ★★☆☆☆

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Les fileurs de temps, de Thomas Fouchault
Editions 1115 (2019) - 126 pages - Support papier - Nouvelles & Recueils (novella)

L'Argo était dans un état déplorable. La voile déchirée pendait du mât comme un linceul, tachetée de moisissures. Le bastingage éclaté par la tempête pourrissait sur place. La coque était verdie, couverte d'algues et de berniques. Grinçant dans la houle, les amarres élimées pouvaient céder au prochain gros temps. La galère tombait en morceaux, abandonnée, semblait-il, depuis plusieurs hivers. Seuls les grands yeux peints de chaque côté de la proue gardaient leur vif et leur éclat. Pétrifié, Jason crut y lire une lueur accusatrice.

Le compte Instagram de l'auteur : https://www.instagram.com/thomasfouchault/

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