PrésentationTitre : Les chiffonniersAuteur : Pierre Grimbert Année de 1ère parution française : 2014 Appartient au cycle : Gonelore Lu au format : Broché, 320 pages Aux éditions : Octobre |
Quatrième de couverture
Les frappes des traîtres ont laissé Mageronce dans la plus grande confusion. Et ce n’est rien en comparaison de la bataille qui se prépare ! Professeurs et apprentis doivent organiser la défense de la plus ancienne école des Arpenteurs, mais l’avenir paraît bien sombre, et certains des vétérans pensent qu’il s’agira là de leur dernier combat. Quelques-uns choisissent même de ne pas attendre pour rallier l’ennemi, tandis que d’autres envisagent d’utiliser des armes abandonnées depuis des siècles, au risque de rendre le remède pire que le mal.
Le Concitre lui-même est en plein trouble. Sa réorganisation ravive d’anciennes rancœurs, dont certaines ne pourront être étouffées que dans le sang ! Les maîtres voudraient faire toute la lumière sur l’histoire des Chiffonniers, mais ils redoutent d’être gagnés par la folie qui frappe ces anciens héros… Et le retour de la plus mystérieuse d’entre eux complique encore les choses. Quel secret cache donc la chasseresse ? Faut-il lui faire confiance, ou la bannir tant qu’il est encore temps ?
Loin de cette effervescence, un professeur et son élève remontent eux-mêmes les chemins du passé. Ce voyage peut les conduire à deux destins différents. L’un prolongerait la survie de Gonelore face aux chimères, tandis que l’autre précipiterait le monde vers sa fin… Mais quelle route le Maguistre va-t-il choisir ?
Le Concitre lui-même est en plein trouble. Sa réorganisation ravive d’anciennes rancœurs, dont certaines ne pourront être étouffées que dans le sang ! Les maîtres voudraient faire toute la lumière sur l’histoire des Chiffonniers, mais ils redoutent d’être gagnés par la folie qui frappe ces anciens héros… Et le retour de la plus mystérieuse d’entre eux complique encore les choses. Quel secret cache donc la chasseresse ? Faut-il lui faire confiance, ou la bannir tant qu’il est encore temps ?
Loin de cette effervescence, un professeur et son élève remontent eux-mêmes les chemins du passé. Ce voyage peut les conduire à deux destins différents. L’un prolongerait la survie de Gonelore face aux chimères, tandis que l’autre précipiterait le monde vers sa fin… Mais quelle route le Maguistre va-t-il choisir ?
Ma chronique
De retour dans le monde de Gonelore avec Les chiffonniers qui clôt ce premier cycle annoncé par Pierre Grimbert, passé maître es cliffhanger ! La fin du Maguistre m’avait laissée littéralement sur les dents, et c’est donc avec un réel enthousiasme que je me suis lancée dans cette suite, avide de découvrir quelles étaient les ambitions secrètes de Denilius, l’histoire des Chiffonniers ou encore l’étendue des pouvoirs de Léhandre. Tellement d’éléments restaient en attente d’un dénouement ou d’une explication.
A nouveau, le récit alterne entre les événements qui se déroulent à Mageronce, qui se remet difficilement de la première attaque des traîtres, et le voyage de Léhandre et Denilius, vers une destination connue du seul dernier. Les situations respectives de chacun des nombreux personnages de cette histoire demandaient à se stabiliser, et j’ai eu la satisfaction d’obtenir des éclaircissements pour tout ou presque tout. Certains de nos héros gagnent en profondeur, au fur et à mesure que leur passé nous est dévoilé. On apprend par exemple d’où vient la réputation de voleuse de Nobiane, ou encore dans quelle circonstance Radjaniel a perdu ses précédents apprentis...
Un tome où s’enchaînent révélations et rebondissements, jusqu’à l’ultime bataille, épique, contre Tannikis et ses traîtres. Gageons que nos jeunes apprentis y gagneront à la fois quelques nouveaux clous pour leur baudrier, et quelques cicatrices. Mais ne comptez pas sur une fin à l’eau de rose comme celle des contes. Pas de « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » ici ! Si la situation se stabilise, Pierre Grimbert ne le cache pas, cette trilogie ne constitue qu’un premier cycle, et notre découverte de Gonelore et des horizons voisins n’est sûrement pas terminée. A notre plus grande joie, d’ailleurs.
Au final, un premier cycle très plaisant pour un de ces univers originaux et mystérieux dont Pierre Grimbert a le secret. Des personnages tout d’abord un peu clichés mais qui s’étoffent avec le temps, une intrigue menée tambour battant, et un style très fluide que les plus jeunes n’auront aucune difficulté à lire. Mon fils s’est d’ores et déjà lancé dans la saga, il a terminé Les Arpenteurs et trépigne d’impatience à l’idée de savoir qui est Jona. De la bonne fantasy jeunesse comme on l’aime ! Un grand merci à Pierre Grimbert et aux éditions Octobre.
A nouveau, le récit alterne entre les événements qui se déroulent à Mageronce, qui se remet difficilement de la première attaque des traîtres, et le voyage de Léhandre et Denilius, vers une destination connue du seul dernier. Les situations respectives de chacun des nombreux personnages de cette histoire demandaient à se stabiliser, et j’ai eu la satisfaction d’obtenir des éclaircissements pour tout ou presque tout. Certains de nos héros gagnent en profondeur, au fur et à mesure que leur passé nous est dévoilé. On apprend par exemple d’où vient la réputation de voleuse de Nobiane, ou encore dans quelle circonstance Radjaniel a perdu ses précédents apprentis...
Un tome où s’enchaînent révélations et rebondissements, jusqu’à l’ultime bataille, épique, contre Tannikis et ses traîtres. Gageons que nos jeunes apprentis y gagneront à la fois quelques nouveaux clous pour leur baudrier, et quelques cicatrices. Mais ne comptez pas sur une fin à l’eau de rose comme celle des contes. Pas de « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » ici ! Si la situation se stabilise, Pierre Grimbert ne le cache pas, cette trilogie ne constitue qu’un premier cycle, et notre découverte de Gonelore et des horizons voisins n’est sûrement pas terminée. A notre plus grande joie, d’ailleurs.
Au final, un premier cycle très plaisant pour un de ces univers originaux et mystérieux dont Pierre Grimbert a le secret. Des personnages tout d’abord un peu clichés mais qui s’étoffent avec le temps, une intrigue menée tambour battant, et un style très fluide que les plus jeunes n’auront aucune difficulté à lire. Mon fils s’est d’ores et déjà lancé dans la saga, il a terminé Les Arpenteurs et trépigne d’impatience à l’idée de savoir qui est Jona. De la bonne fantasy jeunesse comme on l’aime ! Un grand merci à Pierre Grimbert et aux éditions Octobre.
Note : ★★★★☆
2 commentaires
Et bien, pas exclu que je me replonge dans la prose de Pierre Grimbert.
RépondreSupprimerJ'ai beau déplorer quelques schémas répétitifs dans ces différents cycles car mon histoire avec lui, ce n'est pas récent...tu me donnes envie de passer outre.
Pourquoi toujours chercher la perfection ? Un auteur, ça s'aime avec ses qualités narratives et ses défauts ! ;o)
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