PrésentationTitre : Demain est une autre vieAuteur : Thierry Serfaty Année de 1ère parution française : 2011 Appartient au cycle : - Lu au format : Poche, 349 pages Aux éditions : J'ai Lu |
Quatrième de couverture
Jamie Byrne, au volant de sa voiture sous une pluie battante, vient de griller un feu rouge, et freine trop tard. Le choc est mortel. En quelques secondes, il voit sa vie défiler devant lui : son seul regret, ne pas avoir su quitter à temps la femme qui ne l'aime plus et lui a toujours refusé les enfants dont il rêvait. Jamie s'éveille en sursaut et regarde autour de lui. Il est vivant, dans sa maison, et sa voiture est intacte. Une sublime jeune femme l'enlace et l'embrasse tendrement, deux jeunes garçons lui sautent au cou. Jamie est incapable de prononcer un mot... et pour cause : cette femme merveilleuse et ces enfants, il ne les a jamais vus ! Est-ce son rêve qui s'accomplit ou bien son cauchemar qui commence ? Au bout d'un suspense mené à un rythme infernal, Jamie Byrne saura ce que sa quête lui réserve : la destruction finale, ou l'amour ultime.Ma chronique
C’est à l’occasion de la sortie au format poche de Demain est une autre vie aux éditions J'ai Lu que j’ai découvert la plume de Thierry Serfaty, docteur en médecine et écrivain français auteur de polars. Le quatrième de couverture de ce roman m’avait fort intriguée, et c’est donc avec enthousiasme que je me suis lancée dans l’aventure.
Dès les toutes premières pages, on rentre dans le vif du sujet. L’auteur n’est, de toute évidence, pas du genre à s’éterniser sur son univers et ses personnages pendant un bon tiers du livre avant d’introduire l’évènement déclencheur de son récit. Non, il nous plonge d’emblée au cœur de l’intrigue, dans les méandres du cerveau de Jamie, ce chirurgien accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis, et à la recherche de ses souvenirs. C’est un personnage attachant, dont le rêve a priori tout simple de bonheur familial ne peut que nous interpeller.
48 heures… C’est le temps qu’il a demandé à son épouse de lui accorder pour enquêter de son coté et essayer de se disculper, avant de se rendre à la police. Dès lors, le décompte des heures qui passent, impitoyables, rythme le récit. S’ensuit une incroyable chasse aux indices au cours de laquelle les révélations s’enchaînent à un rythme effréné. Notre paisible chirurgien se retrouve plongé dans un univers dont il ne connaît rien ou pas grand-chose : celui de la violence, des malfrats, des plus viles intrigues et de la trahison.
L’intrigue est menée de main de maître, et on se surprend à tourner les pages sans pouvoir s’arrêter. J’ai bien failli adorer ce livre ! Malheureusement, le dénouement est tellement télescopé et convenu que je n’arrive pas à m’en remettre. J’ai lu des critiques enthousiastes sur le retournement de situation auquel on assiste, mais la ficelle est tellement énorme, éculée, qu’elle gâche tout ! Pourquoi ce revirement qui n’apporte absolument rien ? A trop vouloir en faire, l’auteur a tout simplement transformé un bon polar en intrigue gentillette qui manque singulièrement de poigne. Déçue…
Dès les toutes premières pages, on rentre dans le vif du sujet. L’auteur n’est, de toute évidence, pas du genre à s’éterniser sur son univers et ses personnages pendant un bon tiers du livre avant d’introduire l’évènement déclencheur de son récit. Non, il nous plonge d’emblée au cœur de l’intrigue, dans les méandres du cerveau de Jamie, ce chirurgien accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis, et à la recherche de ses souvenirs. C’est un personnage attachant, dont le rêve a priori tout simple de bonheur familial ne peut que nous interpeller.
48 heures… C’est le temps qu’il a demandé à son épouse de lui accorder pour enquêter de son coté et essayer de se disculper, avant de se rendre à la police. Dès lors, le décompte des heures qui passent, impitoyables, rythme le récit. S’ensuit une incroyable chasse aux indices au cours de laquelle les révélations s’enchaînent à un rythme effréné. Notre paisible chirurgien se retrouve plongé dans un univers dont il ne connaît rien ou pas grand-chose : celui de la violence, des malfrats, des plus viles intrigues et de la trahison.
L’intrigue est menée de main de maître, et on se surprend à tourner les pages sans pouvoir s’arrêter. J’ai bien failli adorer ce livre ! Malheureusement, le dénouement est tellement télescopé et convenu que je n’arrive pas à m’en remettre. J’ai lu des critiques enthousiastes sur le retournement de situation auquel on assiste, mais la ficelle est tellement énorme, éculée, qu’elle gâche tout ! Pourquoi ce revirement qui n’apporte absolument rien ? A trop vouloir en faire, l’auteur a tout simplement transformé un bon polar en intrigue gentillette qui manque singulièrement de poigne. Déçue…
2 commentaires
Comme je te comprends, une fin téléphonée, ça casse tout. Bon, bah, je sens que les 2 romans de l'auteur qui dorment dans ma PAL vous finir par tomber dans l'oubli *sifflote*
RépondreSupprimerNon, il ne faut pas, j'ai entendu dire que ce livre est assez différent de ce qu'il fait d'habitude, moins précis, moins documenté. Laisse une chance à l'auteur ! Et puis tu sais, ce n'est que mon modeste avis ! ;o)
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