The Battle of Jericho Hill

Titre : The Battle of Jericho Hill
Auteurs : Robin Furth & Peter David
Illustrateurs : Jae Lee & Richard Isanove

Cycle : Dark Tower - Tome : 5
Date de sortie : 18 août 2010
EAN : 9780785129530

Présentation de l'éditeur :
It has all led to this : the climactic battle for all the Mid-World marbles ! On one side, with their backs to Jericho Hill are Roland, his ka-tet and the surviving members of his father's Affiliation. Arrayed against them, thousands of soldiers and slow mutants armed with the most horrific selection of weapons that the Good Man, John Farson, could provide them. A few will live and many will die, and no reader will ever forget the intensity of the struggle or its heart-wrenching outcome. You must not miss the shattering conclusion that will alter the balance of power in Mid-World in unthinkable ways. You have been warned.

Ma critique :
Un résumé en anglais pour une bande-dessinée assez laborieusement lue en anglais ! Gilead est tombée ! Roland et son ka-tet cherchent vers quoi se tourner, que faire, où aller. Et c'est de l'innocent Sheemie que la solution vient : il faut partir en quête de la Tour Sombre. Neuf années d'errance qui mèneront les protagonistes jusqu'à Jericho Hill, pour l'ultime bataille.

Je ne suis toujours pas fan des dessins de Jae Lee, un peu trop gothiques à mon goût, mais j'ai néanmoins adoré certaines planches. En particulier, celles qui expliquent ce qu'est la Tour Sombre, comment son équilibre - et celui de tous les mondes - est maintenu par six Rayons tendus entre douze Portails gardés par des animaux-totems. Ce que je ne me souvenais pas avoir lu dans les livres, c'est que ces Rayons sont personnifiés par des enfants qui perdent la vie quand les Briseurs atteignent leur but... C'est comme un vent léger de poésie qui souffle sur cette terre aride et brûlante, regorgeant d'horreurs. Mon passage préféré jusqu'ici, tous volumes confondus.

En dehors de ça, l'ambiance du comic est toujours fidèle à celle de son illustre aîné, le coté gore étant quand même sacrément accentué par la mise en images. Un petit bémol quand même : l'impression dérangeante que la plupart des scènes de ces cinq premiers volumes se déroulent au même endroit, et montrent la même chose : des Pistoleros et des rebelles qui se tirent dessus ! Au final quand même, étant une fan absolue des romans, j’espérais beaucoup de ce comics et je me rends compte qu'il n'apporte pas grand chose...

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