Titre : The Journey Begins Auteurs : Robin Furth & Peter David Illustrateurs : Sean Philipps & Richard Isanove Cycle : Dark Tower - Tome : 6 Date de sortie : 26 janvier 2011 EAN : 9780785147091 |
Passing through the town of Kingston in his pursuit of the Man in Black has turned into quite the ordeal - the girl Susan (an echo of his true love, named Delgado) kidnapped and taken to a Dogan of the Old People, where the secrets of the invisible Not-Men are kept. It will be a battle of the mysterious tech of long ago versus the cold hard steel of the Gunslinger. It is a fate to be decided by the hands of Gan, the hands of ka, and these hands know no mercy.
Ma critique :
En ouvrant ce nouveau recueil des comics Marvel adaptés de La Tour Sombre, de Stephen King, je me demandais bien ce dont il allait être question. Allions-nous rejoindre Roland, le dernier Pistolero, directement après la Bataille de Jericho où ses amis avaient trouvé la mort, ou bien dans sa marche forcée à travers le Désert de Mohaine, à la poursuite de l'Homme en Noir ?
Et bien, en réalité, ni l'un ni l'autre, ou plutôt un peu des deux ! En habile scénariste, Robin Furth a eu la riche idée de reprendre à son compte les flashbacks utilisés par King dans le premier volume de sa saga littéraire. Une douzaine d'années après la chute des Pistoleros, Roland poursuit l'Homme en Noir, et se souvient... et Robin Furth nous dépeint alors ce monde qui a changé, un monde en ruines.
The Journey Begins est, au final, un joyeux mélange d'évènements mentionnés dans Le Pistolero et d'autres pas. Certains le regretteront. En ce qui me concerne, c'est typiquement pour ce genre de scènes que je m'attache à suivre cette adaptation en bande-dessinée. Nul besoin de chercher à mettre en images une histoire que les mots de King suffisent à porter ! En revanche, s'il s'agit d'enrichir la trame des évènements, d'y apporter quelques précisions, de nouvelles anecdotes, je dis pourquoi pas ?
Les images pour finir, car que serait une bande-dessinée sans les illustrations ? Pas grand-chose... Le coup de crayon de Sean Philipps est beaucoup moins "gothique" que celui de Jae Lee, et c'est un style que j'affectionne davantage.
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