Lecture commune - L'âge des miracles

La communauté Imag'In Café se propose de mettre en place des lectures communes. De quoi s’agit-il exactement ? Simplement d’offrir à tous ses membres la possibilité de partager, de temps à autre, une lecture synchronisée et d’en discuter.

La lecture commune du mois d'Octobre 2013 à venir vient d’être annoncée. Il s’agit d'un ouvrage de science-fiction de Karen Thompson Walker : L'âge des miracles, dont vous trouverez un petit résumé ci-dessous. Ce livre est dans ma PAL depuis quelques temps, je n'en ai pas tellement entendu parler mais j'ai eu l'occasion de me le procurer et le quatrième de couverture m'a intriguée, alors voilà...

Si certains d’entre vous sont tentés, les inscriptions sont ouvertes sur le forum d'Imag'In jusqu’au 30 Septembre 2013. N'hésitez pas, tout le monde est bienvenu.




Quatrième de couverture


Et si nos journées commençaient à s'allonger, d'abord de quelques minutes, puis de plusieurs heures, jusqu'à ce que le jour devienne la nuit et la nuit le jour ? 
Une journée d'octobre apparemment comme les autres, l'humanité découvre avec stupeur que la rotation de la Terre a ralenti. Les jours atteignent progressivement 26, 28 puis 30 heures. Tandis que certains voient dans ce changement inexpliqué un signe que la fin est proche et cèdent à la panique, d'autres, au contraire, s'accrochent coûte que coûte à leur routine, comme pour nier l'évidence.
Bientôt, la gravité est modifiée et certaines personnes sont touchées par un syndrome provoquant des malaises à répétition, les oiseaux sont désorientés et s'écrasent, les marées se dérèglent et les baleines s'échouent... En Californie, Julia est le témoin de ce bouleversement, et de ses conséquences sur la communauté, sa famille, et elle-même. Adolescente à fleur de peau, elle entre dans l'âge où son corps, son rapport aux autres et sa vision du monde changent : l'âge des miracles. 
Entre roman d'anticipation et d'apprentissage, L'Age des miracles est un livre visionnaire sur la capacité d'adaptation de l'Homme, poussée ici à son paroxysme.

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