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Freida McFadden est devenue, en l'espace de quelques années, une véritable machine à best-sellers dans le domaine du thriller psychologique. Sa saga La Femme de ménage, qui suit les mésaventures de Millie, a conquis des millions de lecteurs à travers le monde. Avec La femme de ménage se marie, paru en mai dernier en France, l'autrice nous propose une novella d'une centaine de pages, positionnée entre le tome 2 (Les secrets de la femme de ménage) et le tome 3 (La femme de ménage voit tout). Un entre-deux qui, malheureusement, peine à justifier son existence.

Le pitch est simple : nous sommes le jour du mariage tant attendu de Millie avec Enzo, l'homme de ses rêves. Ses parents, avec lesquels elle est brouillée depuis quinze ans, ont même promis d'assister à la cérémonie. Tout devrait être parfait. Mais alors que Millie devrait se concentrer sur sa robe et sa coiffure, elle découvre que quelqu'un l'épie, jusque dans sa chambre, et promet de la tuer.

Sur le papier, on retrouve les ingrédients habituels de McFadden : une héroïne en danger, une menace qui plane, un mystère à résoudre. L'autrice possède indéniablement un talent pour créer du suspense et maintenir le lecteur en haleine. Elle sait instiller cette tension caractéristique de ses romans, ce petit frisson qui nous pousse à tourner les pages. Le problème, c'est que dans une novella de cent pages à peine, cette capacité à créer du suspense ne suffit pas à masquer l'extrême superficialité de l'ensemble. L'intrigue est tellement mince qu'elle en devient presque transparente, il n’y a aucun enjeu narratif.

Les préparatifs du mariage, les questions de robe, de coiffure, la réconciliation avec les parents, tout cela manque cruellement d'intérêt. On s’en fiche, et on termine la lecture avec un sentiment de vide, l'impression d'avoir consommé un produit formaté qui ne laissera aucune trace dans notre mémoire. On sent bien qu'il s'agit d'un produit dérivé, conçu pour maintenir la série sous les projecteurs entre deux tomes principaux, pour faire patienter les fans plutôt que pour apporter quoi que ce soit de substantiel à la saga.

Dispensable au possible, ce texte n'a d'intérêt que pour les fans inconditionnels qui veulent absolument tout lire de leur autrice fétiche. Dans le cas contraire, passez votre chemin. Ce mariage-là n’apporte rien, si ce n'est quelques euros dans les caisses de l'éditeur. Il existe bien d'autres romans de McFadden, autrement plus convaincants, à découvrir.

Note : ★★☆☆☆

Plus d'informations

La Femme de Ménage, tome 2.5 : La femme de ménage se marie, de Freida McFadden
Editions City (2025) - 106 pages - Support papier - Nouvelles & Recueils

Aujourd’hui est censé être le plus beau jour de la vie de Millie. La femme de ménage se marie avec Enzo, l’homme de ses rêves, et rien ne peut gâcher son bonheur. D’autant que ses parents, avec lesquels elle est brouillée depuis quinze ans, ont promis d’assister à la cérémonie. Mais alors qu’elle devrait se préoccuper uniquement de sa robe et de sa coiffure, Millie est confrontée à un sérieux problème : quelqu’un ne veut pas qu’elle vive assez longtemps pour prononcer ses vœux. Quelqu’un qui épie ses faits et gestes, jusque dans sa chambre. Prise au piège, Millie décide pourtant de ne pas se laisser intimider. Elle se mariera coûte que coûte, pour le meilleur et pour le pire. Mais le pire pourrait bien arriver plus tôt que prévu…

Le site de l'autrice : https://www.freidamcfadden.com/

Trois ans. C'est le temps qui s'est écoulé dans l'univers des Baronnies depuis la fin de Balles perdues, premier tome de la trilogie Un certain goût de plomb, d’Arnaud Cazelles. C'est aussi le temps passé entre ma lecture du tome 1 et celle de ce Barillet des ambitions, paru en septembre 2025 aux éditions Oneiroi. Un intervalle qui, je dois bien le reconnaître, m’a posé quelques difficultés.

Lorsque j'ai découvert Balles perdues en 2022, j'ai été littéralement emballée par cette western fantasy, ses personnages complexes et attachants, et l'univers qu'Arnaud Cazelles avait créé. Un vrai coup de cœur qui m'avait laissée dans un état d’attente fébrile de la suite. Si, si ! Pourtant, en me plongeant dans Le barillet des ambitions, je me suis d’abord sentie un peu perdue malgré le résumé des événements du premier tome disponible en début d’ouvrage.

Parce que c’est un récit choral avec de nombreux personnages et des intrigues entremêlées ; parce que les Baronnies, c’est tout un univers : la Guerre des Jabots et ses conséquences, le peuple tallaïm réduit en esclavage, les chamans et leur magie noire, les Wak’, les complots politiques… Il m’a fallu près de 200 pages pour me réapproprier ce monde, me rappeler qui était qui et qui faisait quoi. Peut-être aurais-je dû relire le tome précédent ? Réfléchissez-y avant de vous lancer.

Une fois le cap franchi, une fois que j'ai retrouvé mes repères dans les rues poussiéreuses des Baronnies et sur les territoires tallaïms, c'est avec un immense plaisir que j'ai retrouvé tout ce qui m'avait séduite dans Balles perdues. Arnaud Cazelles possède un style travaillé, imagé, qui mêle métaphores évocatrices et expressions d'argot pour créer une langue parfaitement accordée à son univers. Chaque phrase sert l’ambiance âpre et brutale de cet ouest sauvage réinventé.

Les personnages constituent l'autre grande force de cette saga. Ce sont tous des êtres pragmatiques, façonnés par un monde cruel et sans concession, qui font ce qu'ils doivent faire pour survivre. Tous sont profondément humains dans leurs contradictions. Et surtout, ils évoluent : trois ans ont passé dans l'histoire, et cette durée n'est pas qu'un artifice narratif. Enfin, l’ambiance western fantasy reste un des grands atouts du roman. L’auteur jongle avec les codes du genre : les flingues, les hors-la-loi et autres barons sans scrupules, et il enrichit l’ensemble d’une magie chamanique fort sombre.

Ainsi, Le barillet des ambitions confirme le talent d'Arnaud Cazelles. Passé le cap de la reprise, on retrouve tous les ingrédients qui ont fait la réussite du premier tome : une plume soignée, des personnages complexes et attachants, un univers western fantasy original et immersif, et une intrigue qui continue de tisser ses fils avec habileté. Ce tome 2 ne décevra pas ceux qui ont adoré Balles perdues, c'est promis !

Note : ★★★★☆

Plus d'informations

Un Certain Goût de Plomb, tome 2 : Le barillet des ambitions, d'Arnaud Cazelles
Oneiroi (2025) - 456 pages - Support papier - Fantasy

Trois ans se sont écoulés depuis la fin de la Guerre des Jabots. Alors qu’il se transforme progressivement en reptan, Zaggo se focalise sur la prophétie du Roi-Serpent, bien déterminé à retrouver sa pitchoune. À des kilomètres de là, sur le territoire tallaïm, Charlise suit rigoureusement l’entraînement de Joseph pour devenir pistolero pendant que Na’wé se voit chargée d’une mission délicate par le Concile. À La Nouvelle-Luvezan, Zacaria, adopté par les Bruyère, parfait ses connaissances chamaniques avec l’assistance du Baron Fortune. Tandis que la menace des Wak’ grandit dans l’ombre, les liens du sang s’ébranlent, les trahisons se succèdent et les cadavres s’empilent.

Le compte Instagram de l'auteur : https://www.instagram.com/arnaud_cazelles/


Pour l'année 2026, Elynn relance, sur l'Imag'In Café, un challenge littéraire que nous vous avions déjà proposé en 2021. Snakes and Ladders, vous connaissez ? On nous l'a redemandé, alors en avant !

C'est tout bête. En gros, S&L est un jeu de course, le but étant d’être le premier à arriver tout en haut du plateau. Les joueurs lancent les dés, s’ils tombent sur une échelle ils avancent plus vite jusqu'au sommet de l'échelle, si c’est un serpent, ils reculent jusqu'à la queue du serpent. Facile. Les joueurs n’exercent aucun contrôle sur le jeu, tout repose sur le hasard.

Sauf que le but ici est de corser ça avec un défi littéraire, bien sûr ! Ainsi, à chaque lancer de dé :
 
  • Si vous tombez sur une case bleue :
    • L'organisatrice tire au sort une lettre, et vous devez lire un livre dont le titre, ou le prénom ou le nom de l'auteur, commence par cette lettre,
    • OU vous devez avancer d'une consigne dans le challenge Civilisations.
  • Si vous tombez sur une case blanche : 
    • Vous devez lire un livre choisi dans votre PAL (liste d'au moins 5 livres à fournir à ce moment-là) par un autre participant au jeu.
  • Si vous tombez sur une case rouge :
    • L'organisatrice tire au sort un thème, et vous devez lire un livre en rapport avec ce thème,
    • OU vous devez lire un livre correspondant au genre attaché à votre âge/peuple actuel ; ce livre pourra compter dans le challenge Civilisations, même si vous n'êtes pas à la bonne étape.
  • Si vous tombez sur une case verte :
    • L'organisatrice tire au sort une couleur, et vous devez lire un livre dont la couverture comporte cette couleur,
    • OU vous devez lire un livre qui valide une avancée dans le petit challenge saisonnier en cours à votre âge dans le challenge Civilisations.
  • Si vous tombez sur une case jaune : 
    • Vous devez lire un livre d'au moins 350 pages.

Bien sûr, pour chaque livre lu, vous devez donner votre avis, sur le forum, votre blog ou une plateforme quelconque. 

Alors, tenté par l'aventure ? 
Ça se passera du 1er janvier au 31 décembre 2026 sur l'Imag'In Café. Rejoignez-nous !


Plus d'informations

MON AVANCEMENT en date du xx/xx/2026
Tout le monde commence à la case n° 0, il y a 100 cases à parcourir.

- Lancé de dé : 



Maxime Chattam ne cessera décidément jamais de me surprendre ! Après des années à explorer les méandres les plus sombres de l'âme humaine dans ses thrillers, l'auteur emprunte avec 8,2 secondes un chemin doux-amer auquel je ne m’attendais pas : celui du deuil et de la reconstruction. De l’amour aussi et, très franchement, le résultat est une belle réussite.

Le roman suit, en alternance, deux femmes que tout sépare, mais qu'un secret relie mystérieusement. May est policière à New York, tandis que Constance, scénariste, s'est isolée près du Lac Skaneateles, au nord des États-Unis. Traumatisée par la perte tragique de son époux et de son fils, elle cherche des réponses à son deuil dans le chalet familial. May, de son côté, traque un tueur en série surnommé le Grand Méchant Loup, GML pour les intimes, tout en essayant de trouver l'amour.

Ce qui m’a frappée d'emblée, c'est à quel point ces deux personnages sont touchants. Honnêtement, j’ai souvent du mal avec les héroïnes flics de Chattam, auxquelles je trouve toujours un côté “tête brûlée” qui a tendance à me taper sur les nerfs. Pour une fois, je les ai aimées sans réserve. Ces deux femmes sont profondément humaines, avec leurs blessures et leur besoin viscéral de continuer malgré tout. On vit leur douleur, leurs doutes et leurs failles de l’intérieur, sans jamais tomber dans le pathos facile.

Avec son alternance de points de vue, le roman possède deux temporalités et deux tonalités distinctes. Du côté de Constance, le récit est lent, introspectif, presque contemplatif. Du côté de May, par contre, c'est plus rythmé, plus dynamique. Cette construction en miroir fonctionne parfaitement et crée un bel équilibre. Bien que j’aie deviné le lien entre les deux héroïnes à mi-parcours, le développement de cette connexion est vraiment bien fait, l’auteur va plus loin que ce que j’avais imaginé.

Cependant, si vous cherchez un thriller haletant avec une enquête millimétrée et une révélation choc sur l'identité du meurtrier, vous risquez d'être surpris, car l'aspect polar et la traque du tueur sont clairement secondaires ici. Ce n'est pas le sujet du roman. Chattam utilise cette trame comme un écrin, mais son véritable sujet, c'est le deuil. Et pas n'importe quel deuil : celui qui vous broie, celui qui vous fait douter de votre envie de continuer à vivre. Autant vous dire que c’est assez lourd émotionnellement, et que si vous traversez une période difficile, mieux vaut peut-être reporter votre lecture.

Paradoxalement, malgré la noirceur du thème et l'absence de véritable thriller, 8,2 secondes se dévore. Le roman est terriblement addictif. On veut savoir, on veut comprendre, on veut accompagner ces deux femmes jusqu'au bout de leur chemin. La seule petite réserve que j'émettrais concerne la toute fin. Sans trop en dire, si tout le développement m'a semblé vraiment bien amené, les dernières pages m'ont un peu moins convaincues. Rien de rédhibitoire, mais un petit côté “too much” qui m’a chagrinée.

Une chose est sûre, c'est un Chattam plus sensible, plus intime, qui n'a pas peur de parler d'émotions, que l’on retrouve ici, et c'est cette prise de risque qui fait la force de ce roman. Il nous prouve qu'on peut écrire sur le deuil et l'amour sans tomber dans la mièvrerie. 8,2 secondes est un roman sur la capacité à se reconstruire après avoir tout perdu, sur ces infimes moments de bascule qui changent une vie. Un très grand Chattam, différent certes, mais excellent dans son exploration de l'humain.

Note : ★★★★★

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8,2 secondes, de Maxime Chattam
Albin Michel (2025) - 391 pages - Support numérique - Thrillers & Polars

8,2 secondes. C'est le temps qu'il faut pour tomber amoureux. C'est le temps qu'il faut pour mourir. May et Constance ne se connaissent pas. Mais un même secret les relie. Et les menace. Un thriller psychologique envoûtant entre New York et les grands lacs de la frontière canadienne. Maxime Chattam nous entraîne dans un suspense Hitchcockien impossible à lâcher.

La page Facebook de l'auteur : https://www.facebook.com/ChattamMaxime/

Après le succès d'Elizabeth, sa première nouvelle publiée en 2024 dans la collection Chronopages des éditions 1115, Ann Carré revient avec La chute, un nouveau texte de science-fiction qui nous emmène cette fois en orbite autour d'une planète gazeuse. Si l'autrice avait su émouvoir et convaincre avec son récit initial, empreint de mélancolie et d'une idée narrative forte, ce second opus m’a moins convaincue, malgré des qualités indéniables.

La chute nous présente le professeur Troën Vinu, scientifique installé sur la station Cyrène qui gravite autour d'Hypatia, une géante gazeuse aux volutes belles et mystérieuses. Troën est convaincu d'avoir été contacté, vingt ans plus tôt, par les Mereka, un peuple extraterrestre vivant caché sous l'épaisse atmosphère de la planète. Ces derniers lui auraient transmis par télépathie une prophétie sur le point de s’accomplir. Nous suivons ce personnage dans le compte à rebours jusqu’à l’échéance, alors que sa réputation professionnelle et son honneur se sont progressivement effondrés.

L'idée de départ n'est pas dénuée d'intérêt : ce savant, obsédé par une révélation que lui seul prétend avoir reçue, évoque les grandes figures de scientifiques incompris de la science-fiction classique. Le cadre spatial, avec cette station orbitale scrutant une planète impénétrable, offre aussi une belle toile de fond pour explorer les thèmes de l'obsession et de la foi en l'extraordinaire.

Malheureusement, Ann Carré fait le choix d'un récit très elliptique, qui enjambe les mois et les années. Cette structure empêche le lecteur de véritablement s'investir dans le parcours de son personnage. On assiste à son histoire de loin, sans jamais vraiment pénétrer son intériorité ni comprendre les étapes qui l'ont mené à cette situation. Il est donc difficile de s’attacher à lui. Certes, sa situation inspire une certaine compassion – cet homme dévoué à une cause que personne ne reconnaît, cette solitude face à une vérité que lui seul perçoit – mais cette empathie reste superficielle et cette absence de connexion émotionnelle fait qu’on passe un peu à côté.

Autre faiblesse notable : le dénouement. Sans trop entrer dans les détails pour ne pas gâcher la lecture, il faut reconnaître que la résolution de l'intrigue manque de surprise. La chute annoncée par le titre arrive sans véritable effet de révélation. Pour un format court comme la nouvelle, où la force réside souvent dans le twist final, c’est fort dommage. On reste dans du classique, là où Elizabeth proposait une réflexion plus personnelle sur le temps et la mémoire.

L'écriture d'Ann Carré demeure cependant agréable. Le texte se lit sans accroc, avec une fluidité qui facilite la progression dans le récit. Mais elle ne parvient pas à retrouver la justesse de ton qui faisait le charme d'Elizabeth. Entre ellipses narratives trop marquées, un personnage principal qui peine à nous toucher et une conclusion attendue, cette nouvelle laisse le lecteur sur sa faim. On attendra donc avec curiosité la suite des aventures de cette autrice, en espérant qu'elle retrouve la force évocatrice de ses débuts.

Note : ★★★☆☆

Plus d'informations

La chute, de Ann Carré
Editions 1115 (2025) - 29 pages - Support papier - Recueils & Nouvelles

Destination : la station Cyrène, qui orbite autour de la planète Hypatia. Là, le Professeur Troën Vinu étudie sans relâche les immenses volutes qui tournoient à la surface de la géante gazeuse. Car sous cette épaisse atmosphère, il le sait, se cachent les Mereka, un peuple mystérieux qui le fascine depuis sa plus tendre enfance. Les mêmes Mereka qui lui ont transmis une prophétie, il y a bientôt vingt ans de cela. Une prophétie sur le point de se réaliser. Avec La Chute, Ann Carré nous prépare au pire tout en gardant un œil sur le passé, avec cette question obsédante à l'esprit : le pire est-il vraiment devant, ou derrière nous ?

Le site de l'autrice : https://anncarre.com/

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